• L'ordre doit régner.

    Le capitalisme doit passer.

    Français, restez devant vos télés.

    Oubliez ces Indignés.


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  • Pour que la presse libre continue de vivre, achetez Charlie Hebdo!



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  • Avez-vous lu le dossier que Paris-Match consacrait à Carla Bruni la semaine dernière ? Elle a fait la couverture de ce magazine, qui a titré : Son combat contre l’illettrisme. Carla B serait bien inspirée de susurrer à l’oreille de son choucou d’époux que les dizaines de milliers de suppressions de postes dans l’Education Nationale ne sont peut-être pas le meilleur moyen de lutter contre l’illettrisme. Rappel : le taux d’encadrement des enfants dans les écoles françaises est le plus faible des pays de l’OCDE.

    Cette semaine un autre magazine en remet une louche sur la première dame de  France et son valeureux combat…Quelqu’un pourrait-il me pincer ?


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  • Nous devons jouir. Partout où nous allons, un même impératif : prenez du plaisir !

    La pornographie, autrefois limitée à l’espace privé, a désormais atteint l’espace public. Les publicités au contenu érotique ou pornographique sont visibles par tous, même par de jeunes enfants. Quand on critique cela on est mis dans la catégorie des cathos réacs désireux de porter atteinte à une liberté fondamentale : celle de s’exprimer. J’en ai assez de voir partout des images avec ce type de contenu. Libre à chacun, dans la sphère privée, d’avoir des images à caractère pornographique. Mais il n’est pas normal que des enfants subissent cela.

    La publicité est bien une vache sacrée dans les pays dits développés. Rien ne lui résiste. Sa présence est partout. Immenses panneaux vantant de la lingerie, ou le salon de l’érotisme. Reproduction des couvertures de magazines (à hauteur d’enfants pour que ceux-ci n’ignorent rien de la vie adulte). Autocollants pour téléphones roses. Affiches pour soirées sexy en boîtes…

    Alors bien sûr, à l’heure d’internet, ne serait-il pas inutile de limiter cette pollution ? Je ne le pense pas : les parents ont la possibilité (et le devoir) de contrôler les sites que les enfants consultent. Mais comment faire quand on est dans la rue ? Dire à ses enfants de fermer les yeux ? Et de se boucher les oreilles quand passe à la radio une publicité pour un téléphone rose ?

    Je ne vois pas en quoi une limitation de ce type de publicité serait une menace à la liberté. Par contre elle limiterait les revenus de l’industrie du sexe et surtout des annonceurs. Et cela, c’est insupportable ! Car la publicité n’est qu’au service d’un dieu plus puissant encore que celui des livres sacrés : la Croissance.

     Il faut jouir. Si vous ne jouissez pas, vous êtes suspect. Le culte du toujours plus et de la vitesse ne modifient-il pas nos rapports amoureux ? Je suis sûr que oui.

    Changer de partenaire fréquemment est socialement valorisant pour un homme : « celui-là, c’est un séducteur ! » Les femmes doivent être plus prudentes, au risque d’être traitées de « salopes ».

    Pour tous le rythme des histoires amoureuses et des ruptures s’accélère. C’est l’heure des relations jetables. Il est si facile aujourd’hui de changer de partenaire, à l’heure des sites de rencontres, qu’une rupture n’est pas forcément quelque chose de difficile à vivre. Les êtres humains sont chosifiés : de même qu’on change de mobile tous les six mois, pourquoi ne pas changer non plus de partenaire régulièrement ? Chacun cherche la perle rare, la personne idéale qui ne se présentera sûrement jamais…alors en attendant on « essaie » un(e) partenaire comme on essaie un vêtement dans la cabine d’essayage.

     


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  • La preuve est ici:

    Marine Le Pen qui pose en 2006 avec deux militants néo-nazis. La fille de son père quoi!


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  • Même la Peep, pourtant classée à droite, est inquiète de la dégradation du service public

    d'Education Nationale. C'est dire si ça va mal!

    7/02/2011

    Monsieur le Ministre,

    Le Conseil d’Administration de notre Fédération, réuni en assemblée plénière le 4 février 2011, constate qu’une majorité de ses élus, sur tout le territoire, est inquiète par la dégradation des conditions d’accueil et d’enseignement des élèves au sein de notre service public d’éducation.

    En conséquence, lors de la présentation des DHG (dotations horaires globales), la PEEP demande à tous ses élus, siégeant en Conseil d’Administration de collège et lycée, en CDEN (conseil départemental de l’Education nationale), en CAEN (conseil académique de l’Education nationale), de s’abstenir dans leurs votes si une dégradation de ces conditions d’enseignement est constatée pour la prochaine année scolaire.

    Dans ce cas, la PEEP demande à ses élus de lire la lettre suivante :

    « La PEEP constate une dégradation visible des conditions d’enseignement des élèves, et dénonce une DHG qui n’est pas à la hauteur des objectifs et des ambitions annoncées par le Ministère de l’Education nationale.

    La PEEP n’approuve pas la simple logique comptable de l’Etat  qui ne s’accompagne pas d’une refonte profonde et nécessaire de notre système éducatif.

    La PEEP réaffirme que c’est tout le système scolaire qu’il faut repenser dans un seul et unique objectif : la réussite de tous les enfants ! »

    Monsieur le Ministre, vous NOUS l’aviez ANNONCÉ : faites-le !

    Philippe Vrand
    Président national
    et les membres du
    Conseil d’Administration

     
     

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  • Emission ce soir à la télé avec Sarko. Merde! J'ai autre chose à faire! C'est trop bête, je vais la rater...Vous me raconterez...

     


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  • Une journée d’action est organisée samedi contre les suppressions de postes dans l’Education.

    Les griefs ne manqueront pas pour ceux qui défileront samedi dans plusieurs villes de France à l’occasion d’une journée d’action à l'appel d'un collectif de 25 organisations, dont les principales fédérations de l'Education (FSU, Unsa-Education, Sgen-CFDT), les parents d'élèves de la FCPE. C’est principalement la suppression de 16.000 postes à la rentrée 2011 qui a motivé cette mobilisation.

    Selon le ministère, 8.967 postes d'enseignants seront supprimés dans les écoles primaires publiques (dont 5.600 actuellement en "surnombre", affectés sur des missions particulières), 4.800 dans les collèges et lycées publics et quelque 1.400 dans l'enseignement privé. Or, à la rentrée, selon les services statistiques du ministère, les effectifs d'élèves vont augmenter, en particulier en collèges (35.300 élèves supplémentaires attendus), en lycées professionnels (plus 14.000 élèves attendus) mais aussi dans les écoles (plus 1.500).

    "La rentrée la plus désastreuse"

    Pour Bruno Julliard, les conséquences de ces baisses d’effectifs (50.000 postes d'enseignants supprimés entre 2007 et 2010), sont dramatiques. "Lorsqu’on voit que de moins en moins d’enfants de moins de trois ans sont scolarisés à l’école, lorsqu’on voit qu’il y a de plus en plus d’élèves par classe, notamment à l’école primaire, lorsqu’on voit qu’on supprime beaucoup de classes, beaucoup d’options au collège ou au lycée, on va probablement assister à la rentrée la plus désastreuse depuis bien des années en septembre", estime le secrétaire à l'éducation du Parti socialiste sur Europe 1.

    Le sujet est tellement sensible que les écoles ne connaîtront, individuellement, leur sort qu'après les cantonales de mars, "une manoeuvre politique" selon les syndicats, le ministère parlant de "respect d'une période de réserve".

    Après samedi, la FSU, qui a boycotté mercredi les voeux de Nicolas Sarkozy, avec l'Unsa-Education et le Sgen-CFDT, a proposé une journée de grève en février avant les congés scolaires. Ses deux partenaires ont décliné, estimant cette journée prématurée, mais n'ont pas fermé la porte à une action en mars.

    (Europe 1 avec AFP)


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  • En décembre les Français préparent les fêtes et se ruent dans les boutiques dépenser l'argent qu'ils n'ont pas...

    En janvier, encore plus fauchés, ils repartent consommer: c'est les soldes! Les marchands leur font croire qu'ils gagnent de l'argent en achetant des produits moins chers. En réalité le prix initial est excessivement élevé, de façon à accroître les marges sur les périodes hors soldes, et de continuer à faire du bénéfice durant les soldes en augmentant les volumes de vente. Rappelons que la grande majorité des textiles est aujourd'hui fabriquée pour presque rien en Asie (grâce à une main-d'oeuvre docile et sous-payée, qui fait penser à une nouvelle forme d'esclavage). Ainsi les chaînes de prêt-à-porter et leurs actionnaires s'en mettent plein les fouilles.

    En janvier les Français sont contents de perdre du temps et de brûler du gazoil dans les embouteillages car...C'EST LES SOLDES!


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