* Savoir conduit-il au bonheur ou au désespoir?

* On ne peut apprendre sans aimer.

* "Tu vas trouver que je danse horriblement mal mais c'est un risque que tout homme doit prendre." (Harry Goldenblatt à Charlotte York, Sex and the City)

* Deux lapsus de Fabius ce matin sur Inter:

"Il ne faut pas que 88...pardon, 2008 soit comme 2012."

"Il faut se tourner vers le passé...pardon, vers l'avenir."

* à lire: Manière de voir

* ''Est-ce que tu vois, toi aussi, quand tu fermes les yeux / Quand tu serres le poing, haut vers le ciel, est-ce que tu sens l'odeur délicieuse de la liberté?'' Cali

* "Chaque père a à découvrir qu'il n'est pas le père ultime et que son enfant lui échappe." (France Culture, le 22/06/08)

* épectase: décès pendant l'orgasme

* "Ami lecteur, mon semblable, mon frère", toi qui doute si souvent, écoute Rabou-Abou-Kabou de Rabih Abou Khalil (album Blue Camel), et tout s'éclaircira.

Si tu n'as toujours pas compris, essaie Stand on de Jehro...

* "Un pays heureux n'a pas besoin d'humour." Staline

La légèreté est la plus grande vertu.

Avancer en sifflotant, comme si chaque moment de la vie contenait les promesses du petit matin.

Le Grenelle de l'environnement n'est qu'une opération de communication. Les preuves:

- des mesures plus incitatives que contraignantes. Les vrais questions ne sont pas abordées: comment diminuer la consommation? comment rendre l'environnement moins cancérogène? comment inciter les Français à vivre en logements collectifs? comment relocaliser les productions? comment promouvoir l'agriculture bio? comment montrer le bon exemple aux pays "émergents"? etc.

- la loi de modernisation de l'économie, qui vise à multiplier le nombre de grandes surfaces. On connaît l'impact désastreux des grandes surfaces sur l'environnement: elles poussent à la consommation, elles génèrent des déplacements (de marchadises, de personnes) polluants, elles limitent l'espace naturel de la faune et de la flore, elles consomment beaucoup d'énergie etc.

* Liberté: rester fidèle à ses rêves; accepter le rôle qui nous est dévolu.

* "Changer le monde", une tâche à notre portée. Agissons chaque jour à notre mesure et en croyant à ce que nous faisons. Il n'y a pire mal que la résignation.

"Changer le monde", un combat de chaque instant et avant tout solitaire. Croire au grand soir nous permet de repousser toujours un peu plus le moment où nous essaierons de faire la révolution dans notre propre vie. La vraie révolte est cette croyance et cette action permanentes et solitaires pour changer ce qui est à notre portée, et seulement ce qui est à notre portée.

- pouvoir regarder Les mercredis de l'histoire

- pouvoir lire au lit

- pouvoir parler à qui bon nous semble