• Il est mort, il est mort, le Fidel!

     


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  • En se promenant dans les vastes prairies et forêts limousines, rien n'indique qu'on se trouve parfois près d’anciennes mines d'uranium. Cinquante années d'exploitation de l'uranium ont été effacées du paysage.

    Un documentaire d’Inès Léraud et Diphy Mariani (France Culture)

     

    La région Limousine a vécu l'un des épisodes les plus importants de l'histoire de l'industrie uranifère française. Entre 1948 et 2001, 60 mines y ont permis la production de dizaine de milliers de tonnes d'uranium (de quoi alimenter nos centrales nucléaires pendant environ 2 ans). Et 50 millions de tonnes de déchets sont restés sur place.

     

    Les roches trop peu radioactives pour être exploitées, appelées stériles, ont été dispersées sur le territoire. Elles ont servi de remblais pour les chemins de promenades, pour les routes, ou même pour des maisons d’habitation. Si la radioactivité est indétectable pour les habitants et les promeneurs avec un compteur Geiger c’est un autre décor qui devient sensible.

     

    AREVA*, anciennement COGEMA, considère avoir remis les lieux en état après cessation de son activité. La concession minière à AREVA cessant en 2018, la responsabilité de la pollution radioactive est par la suite du seul ressort de l'Etat, c'est-à-dire de la société.

     

    Depuis, en aval des anciens sites miniers, les berges des rivières, les algues et les sédiments au fond des étangs, sont parfois devenus des « déchets radioactifs ». Plusieurs maisons, vu les fortes émissions de radon, ont dû être abandonnées par leurs habitants. Par endroits, la région semble polluée pour des milliers d'années.

     

    Au cours de notre enquête se dessine le portrait complexe de toute une région, face à cet héritage.

     

    Documentaire dédié aux instituteurs Thierry Lamireau, Christian Pénicaud, lanceurs d'alerte sur la pollution radioactive.

     

    Merci à Cécile Descubes, Bruno Chareyron de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD) et Alice et tous les habitants qui ont accepté de nous rencontrer.


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  • Au Royaume-Uni, les services sociaux sont financièrement encouragés à retirer leurs enfants à des parents soupçonnés de maltraitance ou jugés à l'avance incapables d'assumer leur rôle, à l'instar des mères célibataires ou des couples désargentés.

    Les filles de Régis, âgées de 7 et 9 ans, ont été placées en famille d'accueil après s'être bagarrées un soir à la maison. Gena, s'est fait retirer ses enfants car les services sociaux anglais lui reprochaient d'avoir eu dans le passé un compagnon violent...

     

    « Ils ne rendent jamais les enfants. On ne peut pas se défendre. »

     Reportage : Stéphanie Thomas; Réalisation : Marie Plaçais

    Et sur France 5: Les enfants volés d'Angleterre:

    http://pluzz.francetv.fr/videos/les_enfants_voles_d_angleterre_,148653060.html


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